mercredi 3 novembre 2010

Oh mais c'est bientôt Noël...

Je hais Noël et tout ce qui touche de près ou de loin à cette célébration, mais ô gentil Père Noël si jamais tu passes sur mon blog je te souffle quelques idées de petits cadeaux pour moi huh huh huh... ( J'ai été über sage, oui oui oui!!). Et je te conseillerais, ainsi qu'à vous tous, d'aller jetter un coup d'oeil sur le site Etsy sur lequel il y a plein de trucs cool et pour tous les goûts!

Petite liste non officielle et non exhaustive:


Tasse pour la pétasse qui sommeille en moi


Assiette déco avec une jeune zombie


Savons Space Invaders!


Encore un truc zombiesque. En collier cette fois.


OMG ça je surkiffe, c'est trop la classe! Des boucles d'oreilles en forme de manettes NES!!!

lundi 1 novembre 2010

mercredi 27 octobre 2010

Souvenirs Souvenirs



Je ne me souvenais pas qu'il y avait des zombies dans ce clip ♥♥♥ .

lundi 25 octobre 2010

Nick Drake wesh

Il fut un temps où j'écoutais pas mal Nick Drake. Je ne sais pas trop pourquoi j'ai abandonné ses cds dans la fin fond de ma cédéthèque... Quoiqu'il en soit, j'ai eu comme un mystérieux besoin de réécouter Nick ce soir. J'avais oublié à quel point sa musique était belle et touchante, et quelle voix mélancolique... Juste magnifique. Ci dessous deux chansons sélectionnées par mes soins :)


I was born to love no one, no one to love me
Only the wind in the long green grass
The frost and the broken tree

I was made to love magic, all its wonder to know
But you all lost that magic, many many years ago

I was born to use my eyes, dream with the sun and the skies
To float away in a lifelong song
In the mist where melody flies

I was made to love magic, all its wonder to know
But you all lost that magic, many many years ago

I was born to sail away into a land of forever
Not to be tied to an old stone grave
In your land of never


Thoughts of rain at sunset, clouds of rainbow blue
Thoughts of sun on sand-dunes where the seabirds flew
This was our season and we said it couldn't end
But my love left with the rain

Thoughts of leaves in autumn falling from the trees
Thoughts of hoaring tree tops leading to the sea
This was our season, no lies and no pretend
But my love left with the rain

Thoughts of springtime rainfall touching flowers that bend
Thoughts of wind in willows, days that never end
This was our season and we said it couldn't end
But my love left with the rain

Rain's the way you move now, sun the way you seem
Leaves the way you wonder, flowers the way you dream
This was our season but sorrow waited around the bend
For my love left with the rain

Des collants et des collants et encore des collants ♥

Je suis dans une période COLLANTS!!! J'en veux plein, par dizaines, par centaines!! Il va falloir que j'aille faire une razzia dans les magasins, VITE! Et puis ce sera bien mieux de combler mon manque intersidéral de câlins en achetant des collants tout cool plutôt qu'en mangeant de la junk food, non :P ?!!!








Marque de collants 'achement sympa: Les queues de sardines

Sailors With Wax Wings: une envolée sonore délectable

Contrairement à ce que quasiment tous mes derniers articles pourraient laisser croire, je ne passe pas mes jours et mes nuits à déprimer sur mon sort et à verser des larmes sur mon pauvre coeur souffrant. Non non non! Enfin presque pas.

Je passe aussi beaucoup de temps à surfer sur la toile, à découvrir tous pleins de nouveaux trucs cool. L'une de mes dernières découvertes musicales ainsi que coup de coeur du moment: Sailors With Wax Wings, dont l'album éponyme est sorti le mois dernier.


Sailors With Wax Wings c'est le projet solo de R. Loren de Pyramids. Enfin solo, pas vraiment puisque pour cet opus R. Loren s'est entouré de tous pleins de gens de tous pleins d'autres groupes (oui je suis une fainéante, non je n'ai pas envie de nommer tous les musiciens présents sur l'album, oui c'est mal!).

J'aime vraiment beaucoup ce LP. Il me fait partir loin, très loin. Je suis emportée par tous ces échos de guitare dans une ballade onirique, entre douces rêveries et hallucinations inquiétantes.

Mélange de dark ambient, de noise et d'atmospheric rock, je trouve que cet album est très réussi. Il est musicalement riche, profond et cohérent dans sa progression. Il nous entraîne de l'autre côté du miroir, dans une sorte de monde parallèle à la fois apaisant et mélancolique, beau et sombre.

Assez blablaté. Aux oreilles de juger par elles-mêmes. Bon voyage.

samedi 23 octobre 2010

Fuck Fuck Fuck

Passer son vendredi soir toute seule chez soi, dans le noir, les yeux rivés devant un putain d'écran d'ordinateur sans âme, à écouter des chansons toutes plus déprimantes les une que les autres. J'en ai marre d'être triste. FUCK FUCK FUCK.

Shut up or die: une petite critique de PONTYPOOL

Il y a des films comme ça, étranges, étonnants, curieux, qui vont font tomber de votre canapé, vous laissent bouche bée, l’air hagard. PONTYPOOL fait indéniablement parti de ces films la.

Basé sur le roman Pontypool Change everything de Tony Burgess, le film est réalisé en 2008 par le canadien Bruce McDonald.

Une petite ville dans l’Ontario, au Canada. Grant Mazzi, ancienne gloire de radio, se retrouve à travailler pour une petite station locale, à Pontypool. Seulement, en ce matin enneigé des choses étranges se passent dans la ville habituellement calme et tranquille. On parle d’une émeute qui aurait lieu devant le cabinet du docteur Mendez. Dans le studio, accompagné de sa productrice et de l’ingénieur du son, Grant Mazzi diffuse les premières infos sur l’évènement qui arrivent au compte gouttes et de manière plutôt chaotique. D’émeute on parle d’une épidémie virale qui se propagerait aux habitants de la ville et les transformerait en cannibales violents à la diction incohérente. Mis en quarantaine, nos trois protagonistes vont se retrouver cloitrés dans le studio, avec pour but de continuer à informer les auditeurs et aussi celui de chercher ce qui cause la mystérieuse épidémie, pour leur propre survie.

La première partie du film est un huis clos superbement mis en scène, ou la tension se fait de plus en plus vive à mesure que les informations sur ce qui se trame à l’extérieur arrivent. L’atmosphère devient vite angoissante et on se retrouve dévoré par la confusion et par une inquiétude croissante. Que se passe-t-il réellement dehors? A-t-on affaire à une émeute de nature politique? Un canular? Une vraie épidémie? Quel genre d’épidémie? La force de cette partie du film c’est qu’on ne voit rien. On n’est pas des témoins directs des évènements extérieurs. Tout comme nos trois personnages bloqués dans le studio de radio on est dans le flou, on cherche à comprendre, la tension ambiante n’en est que plus forte.

Le huis clos est brisé dans la seconde partie du film où nos héros se retrouvent traqués, partie un peu plus gore dans laquelle on n’est plus du tout dans la suggestion. Même s’il y a plus d’action dans cette moitié du film, l’aspect psychologique de l’histoire n’en est pas amoindri pour autant.

Ce qui fait la force de PONTYPOOL, c’est également le vecteur de contamination de l’épidémie qui est surprenant et inhabituel. En effet, l’épidémie est due à certains mots qui sont infectés et qui contaminent donc les individus. Ainsi, ce film peut amener à une véritable réflexion sur le langage, sur le sens des mots et leurs rapports au conscient et à l’inconscient, puisque le mot nous contamine dès lors qu’on a compris et intégré son sens. Dans une autre mesure, on peut aussi penser le film à travers la problématique des médias et de leur influence, de leur contrôle sur la population, et comment en répétant certaines infos, certaines idées, encore et encore, on peut nous "zombifier" le cerveau et l'esprit.

PONTYPOOL est un film qui, d’après mon humble avis, vaut vraiment la peine d’être vu, même s’il pourrait en dérouter plus d’un. C’est bien plus qu’un simple film d’infection. La mise en scène est soignée, les acteurs sont très bons, en particulier Stephen McHattie qui joue Grant Mazzi dont la voix profonde est plutôt envoûtante. D’autre part, mention spéciale au personnage du Dr Mendez joué par Hrant Alianak, qui est totalement fantasque et burlesque à souhait. Ce film est donc Kiwi approved!

Ah, et avant de finir je tiens à dire que j’offre un cadeau à la personne qui sera capable de m’expliquer la scène finale du film… ! :P


vendredi 22 octobre 2010

Make up VS Panda

Pourquoi, mais POURQUOI faut-il que je m'obstine à mettre du mascara non waterproof??? Avec ma tête de déterrée je ressemble à un putain de panda zombie dépressif.


vendredi 8 octobre 2010

Des oreillers et du Doliprane

Mais pourquoi faut-il que je me réveille tout le temps aussi tôt ces jours si ? Comme si les journées n’étaient pas déjà assez longues comme ça… Je dois avoir un sérieux côté sado masochiste. Ouais.

Se réveiller avant l’aube, encore fatiguée car on a eu du mal à s’endormir, avec un putain de mal de crâne, avec une putain de boule au ventre.

Alors on se lève. Une clope. Un doliprane. Des mouchoirs. Un peu de musique, comme ça :

When i see me in your eyes
I just want to go blind
When i build coffin worlds with words
I just want a place to hide
When old ghosts meet new regret
My daylight fades to grey
When our days bring guilt and shame
My heart turns black

These are my tombs
Painted black and blue
These are my tombs painted
Just for you
Goodnight
Goodnight dear
Goodbye

Black rose
Be my light
In the darkness of nights
Be my heart

Puis on essaie de se rendormir. Ca marche. Parfois.

mercredi 6 octobre 2010

Guerre spatiale VS déprime

Broyer des petits hommes verts plutôt que broyer du noir. Quoi de mieux en effet qu’un bon vieux film de SF japonais des années 60 pour se remonter momentanément le moral?

Mes proches connaissant mon grand intérêt pour les OVNIS, aliens en tout genre, X files, Fox Mulder & Co ne seront sûrement pas étonnés par ce choix de film.

Battle In Outer Space, réalisé en 1959 par Ishirô Honda, c’est simple. Ca parle d’extraterrestres basés sur la Lune qui veulent envahir la Terre. Une coalition mondiale se met alors en place pour contrer cette menace et sauver la planète, enfin mondiale, plutôt une coalition américano-japonaise en fait. Les extraterrestres sont malins. Ils contrôlent certains terriens grâce à l’emploi d’ondes cérébrales, et ouais! Mais les terriens sont tout autant malins, ils s’organisent et possèdent même de superbes armes à rayon laser. La bataille spatiale s’annonce rude… Qui va l’emporter ?

Avec Battle In Outer Space j’ai voulu du kitsch et j’ai été servie! Tout y est. Des effets spéciaux d’un réalisme saisissant, une bande son épique, des courses poursuites haletantes, un suspens insoutenable, des batailles à rayons laser de folie, des astronautes vaillants et sans peur, des explosions à en couper le souffle, sans oublier les dialogues et les acteurs de grande qualité…

Ah Battle In Outer Space c’est juste so kitsch so good !!!! C’est kiwi approved!

lundi 4 octobre 2010

"Endless Teeth" pour une journée d'endless rain

Aujourd'hui je m'ennuie. Je tourne en rond comme un hamster dans sa cage. Il pleut. Il fait tout gris. J'ai envie de sortir boire un chocolat chaud, la boisson magique qui réchauffe le coeur et l'âme, mais faute de compagnons de boisson je vais rester dans ma cage, le coeur et l'âme rabougris.

Oh, mais elle n'a qu'à aller boire son chocolat toute seule, me diriez-vous! Oui. Mais non. L'homme est un animal social, c'est pas ce qu'on dit?

Je combat donc la morosité de cette journée avec ce clip tout coloré, tout gai, tout sympathique que je viens de découvrir par hasard. ( Oh oh, mais mon blog se transforme de plus en plus en blog musical... Plaît-il!)


dimanche 3 octobre 2010

Parce que le dimanche est un jour sacré

Comme on le sait tous, le dimanche c'est le jour des lendemains de cuite du seigneur ! On prie, on chante des cantiques, on loue Dieu le père, c'est la fête, hallelujah !! C'est pourquoi j'ai décidé de créer une rubrique hebdomadaire: La religion du kiwi, consacrée à quelqu'un, quelque chose, de mon panthéon personnel.

Aujourd'hui, le dieu du rock, LEMMY KILMISTER!! Nul besoin de présenter Mr Kilmister. Honte aux mécréants qui ignorent qui il est (quand même un lien Wikipedia ici, au cas où...).

Lemmy c'est un peu notre père à tous. Infatiguable, incassable, indémodable, inégalable, immortel!


♥♥♥♥♥♥♥♥♥




Petit bonus: Lemmy star de pub pour des chips!

Des trains et un papillon

Parfois on aimerait partir. Très loin. Là bas. Seule ou accompagnée. Avec un amoureux, un ami, un compagnon imaginaire, un frère, une sœur, peu importe. Quant à la destination, elle importe peu aussi à vrai dire.

Les envies d’évasion sont d’autant plus dures à combattre quand on habite près d’une gare, en face des rails. C’est l’un des désavantages de vivre à proximité des trains je trouve, au delà du bruit. Quoique le bruit ne me gène pas vraiment. Les TGV sont peu bruyants, on dirait qu’ils survolent les rails avec un souffle puissant mais calme. Les autres trains jouent une sorte de musique métallique que je ne trouve pas inintéressante non plus. Mais passons.

Voir les trains arriver, partir, revenir, repartir, cela donne simplement envie de remplir un sac à dos et de prendre le large. Là. Tout de suite. Partir quand on sait que de toute façon peu se soucieront de notre absence. Laisser ses soucis, ses angoisses, ses peurs sur les quais. Comme ça.

Depuis mon plus jeune âge j’ai toujours voulu quitter ma ville natale. Les destinations de mes rêves ont changés au fil des années, de ce pays, cette ville à une autre ville, un autre pays. Pourtant je ne suis jamais partie. Pire, j’ai même toujours abandonné mes projets de départ.

Alors, pourquoi ces envies d’ailleurs?

Partir pour fuir? Partir pour se détruire et se reconstruire? Partir pour découvrir le monde? Jouer à l’aventurière? Jouer la lâche? Quitter ceux qu’on aime avant qu’ils ne nous quittent? Partir pour mieux revenir? Pour ne jamais revenir?

Tiens, un papillon vient d’entrer par la fenêtre que j’avais laissé entouverte malgré la fraîcheur nocturne. Je l’observe et je me dis que j’aimerais bien être un papillon aussi. Ah, cette fâcheuse habitude à toujours s’égarer, ce manque de concentration!

Quoiqu’il en soit je reste bloquée entre ces quatre murs fatigués, dans cette ville que j’aime autant que je déteste. Alors, en attendant l’hypothétique grand départ, je vais m’évader en musique. Ouais. En musique.

Carry me caravan, take me away

And now the night's black as a crow
It was a train that took me away from here
but a train can't bring me home

Ice-age heat wave, can't complain
If the world's at large, why should I remain?
Walked away to another plan
Gonna find another place, maybe one I can stand
I move on to another day
to a whole new town with a whole new way

Jolie chanson, mais c'est surtout pour les looks et la moustache ahah

vendredi 1 octobre 2010

Philosophie du soir, bonsoir.

Voilà une philosophie que je devrais suivre plus souvent...

Un panda, une sorcière et des guitares

Je vais consacrer mon premier vrai billet à mon gros coup de cœur musical du moment :BLOODY PANDA !!

Depuis que j’ai découvert ce groupe, et plus particulièrement leur LP Summon je suis tout simplement accro, ce dernier tournant presque non stop sur mes platines.


Bloody Panda est un groupe de doom metal expérimental new yorkais crée en 2003 par la japonaise Yoshiko Ohara. Le groupe sort un premier album Pheromone en 2007, puis un second,Summon, en 2009.

L’univers de Bloody Panda est prenant, ensorcelant. La voix de Yoshiko Ohara, qui sonne parfois comme une prière, comme un mantra, comme une complainte, ou encore comme une malédiction nous appelle et nous envoie dans des contrées inquiétantes, lointaines et abandonnées.

Quand j’écoute Bloody Panda c’est simple. Je me vois dans une forêt, et je suis une sorcière. Je danse nue autour d’un feu, je lance des sortilèges à la planète entière, je suis entourée d’âmes maudites et errantes, je récite des incantations, je prépare des potions, j’exécute des sacrifices sanglants et je m’accouple avec le Diable.

Ha! Quand la musique s’arrête comme il est douloureux de revenir à la réalité et de sortir de ce démoniaque mais doux coma sonore!

Bloody Panda c’est sombre, mystérieux, surnaturel. C’est 100% bon, c’est 100% kiwi approved!

Oh! Un kiwi!

Bonjour amis fruits et légumes !

Déjà auteure du blog Alice In Slaughterland: Crimes en série, esthétique morbide, culture du bizarre et rites alternatifs, blog qui, soit dit en passant, fait peur à certaines de mes copines (allez comprendre…^^!!), j’ai décidé de réitérer l’expérience en créant un second blog sobrement intitulé I Am a Bloody Kiwi (ne me demandez pas pourquoi, c’est en quelque sorte une private joke ;) ! )

Que va-t-il y avoir sur I Am A Bloody Kiwi ?

Ce blog se veut beaucoup moins thématique que mon autre blog. Disons que je le vois comme l’endroit où je vais pouvoir m’épancher sur mes coups de coeur, coups de gueule, coup de blues, coups de soleil, coups de lune et autres pensées et réflexions métaphysiques...

Bon, assez blablaté. Rentrons dans le vif du sujet, dans le côté K.I.W.I. de la force!